Le jeune Gunnar Kaufman, poète à ses heures perdues et à l'intelligence sans limites. Il est, dit-il, de ces nègres que personne ne peut apprécier. Sa jeunesse fut une longue peine jusqu'à son adolescence. Ce qui l'a sauvé ? le ghetto, les clans, les gangs… Et le basket. Il mesure 1m95. Il est grands, costaud, et il joue divinement bien. Ses sauts sont dignes des plus grands basketteurs. Il finit par s'accoquiner avec la terreur de la cité. Gunnar va alors devenir un icône, une star des noirs américains. Il sera pris en exemple, on suivra ses conseils, il sera le nouveau messie que l'Amérique attendait tant...
Karine nous conseille ce roman à lire avec plaisir, et à se souvenir, évidement. Car c'est ici une partie de l'histoire qui est écrite. Une partie ségrégationniste où le peuple noir commence à se lever et suivre le chemin que propose Gunnar...